Hypnose à Nice pour maigrir
Et pour les troubles des conduites alimentaires
Pourquoi utiliser l'hypnose pour perdre du poids ?
Même si la santé ou l’image de soi sont impactées, la nourriture et le poids sont des symptômes, pas le réel problème.
La prise de poids et les autres troubles de l'alimentation, s'il ne sont pas dus à des problèmes de santé (dérèglement hormonal, hypothyroïdie...), sont bien souvent les symptômes d’un mal-être émotionnel. Car même si le poids diminue, que la personne se sent mieux dans son corps, le malaise bien souvent perdure…
L’hypnose pour modifier nos comportements alimentaires
Ce que l’hypnose peut faire pour les troubles alimentaires :
Nous savons désormais que l’hypnose agit sur l’ADN, qu’elle en permet la modification. Il en est de même pour la sensation de satiété : grâce àl'hypnose, nous pouvons la réactiver pour retrouver un fonctionnement sain.
En hypnothérapie, nous pouvons également modifier les croyances communes et erronées sur fonctionnement du corps que nous verrons brièvement plus loin.
Tout cela concerne, vous l’aurez compris, des mécanismes profonds sur lesquels nous pouvons travailler en hypnothérapie pour perdre du poids. Mais il est également des comportements et émotions qui sont propres à chaque individu.
La faim émotionnelle est fort éloignée de la « faim physique ». Elle peut être causée par des situations et des interprétations de celles-ci. Ces interprétations déclenchent des émotions induisant un besoin émotionnelle de se nourrir d’un certain type de nourriture (gras, sucré pour la plupart). Avec l’hypnose, nous pourrons travailler sur l’origine de ces compulsions alimentaires, sur les différents déclencheurs possibles, afin d’en modifier l’impact.
Il est important de souligner que l'hypnose seule n'est pas toujours suffisante pour perdre du poids. Il sera parfois nécessaire de concevoir en complément d'autres approches (suivi avec un diététicien ou un nutritionniste, par exemple).
Pour plus d’informations sur ce qu'est l'hypnose, rendez-vous sur la page d'accueil www.hypfulness.fr ou visitez le blog
L'hypnose pour perdre du poids durablement
Mincir de manière durable n'est possible qu’à condition d'agir en profondeur à la source du problème : les émotions, les pensées, les interprétations de situations, les croyances et les besoins insatisfaits.
Et c'est là justement où agit l'hypnominceur : elle permet de perdre durablement du poids en travaillant aux origines du surpoids.
Perdre des kilos et s'affiner devient alors naturel, la conséquence d’un équilibre interne trouvé ou retrouvé.
Une fois ce changement en hypnose effectué, le rapport à l’alimentation pourra (re)devenir sain et (re)trouver sa fonction première : fournir au corps et au cerveau l’énergie nécessaire pour s’épanouir.
La nourriture est généralement associée à la notion de plaisir. Un travail sur l'équilibre "besoin-envie" est souvent indispensable (travail sur les ressentis corporels) en hypnose pour maigrir.
Les TCA : les Troubles du Comportement Alimentaire
Quand l’alimentation a une valence affective, les solutions pourront être d’aller se faire vomir, de jeûner, de compenser avec du sport, ou de prendre des médicaments (laxatifs, coupe-faims, diurétiques). Ces types de comportements, présents dans troubles les boulimiques non hyperphagiques et les troubles anorexiques boulimiques permettent, outre le fait de stabiliser le poids, de diminuer la culpabilité liée aux crises. Mais honte et colère persistent la plupart du temps.
Les troubles de comportements alimentaires se divisent en 2 groupes :
Les troubles anorexiques et les troubles boulimiques
Les boulimiques hyperphagiques (ou « hyperphages »)
Il n’y a pas de compensation des excès alimentaires (pas de vomissements ni de pratique sportive excessive). Ces personnes souffrent de surpoids et d’obésité.
Les boulimiques non hyperphagiques
(tout comme les anorexiques boulimiques qui alternent les phases de restrictions et d’ingestions compulsives alimentaires) essaient de maintenir leurs poids par les solutions citées en début de cette partie.
Dans les cas de boulimie, un travail en hypnose sur les situations anxiogènes, le stress et les émotions sera tout indiqué.
Dans les troubles anorexiques contrôlés
Les restrictions alimentaires sont respectées, la conduite est stricte et durable. Certaines de ces formes d'anorexies (avec vomissements notamment) sont du domaine psychiatrique. Et dans les cas où la vie de la personne est en jeu, un suivi psychologique sera à privilégier. Je ne prends d'ailleurs pas de clients avec ce type de trouble.
Dans les cas d'une perte de faim et de poids
Qui font suite à des situations stressantes ou à fortes valences émotionnelles, l'hypnose sera une méthode particulièrement adaptée. Un travail sur les émotions pourra être salutaire.
Les médecins, diététiciens et nutritionnistes entendent souvent la phrase « je me trouve gros.se », « je souhaite perdre du poids » ou « je veux m'amincir ». Les origines psychologiques et émotionnelles de kilos superflus étant oubliées, nombreuses sont les personnes qui s’attendent à une recette miracle.
Hors, il n’en est rien ! Bien que l’on retrouve des similitudes dans les troubles de l’alimentation, chaque individu à un comportement, avec la nourriture, qui lui est propre. D’où l’appellation « troubles des comportements alimentaires ».
L'anxiété alimentaire : une préoccupation excessive pour son poids
Depuis quelques années nous parlons également d'un trouble que l'on nomme "anxiété alimentaire". Elle correspond à une préoccupation excessive de l'image du corps qui créé un focus sur l'alimentation. Elle serait induite par un dysmorphisme (décalage perceptif entre la réalité et la manière dont le corps est perçu) accentué par une comparaison démesurée aux images des réseaux sociaux.
Ce type de personne ne prend que rarement rendez-vous en hypnose mais le sentiment de détresse lié à l'image du corps est un trouble qui peut particulièrement bien évoluer grâce une une hypnothérapie.
“Le paysan meurt de faim et son maître de gourmandise.”
Proverbe polonais
“Un régime, c'est la courte période de privations qui précède une augmentation de poids.”
Anonyme
La façon dont nous mangeons est souvent une métaphore de la façon dont nous vivons.
Ce « vide affectif » n’a pas d’origine prédéterminée. Les raisons inconscientes qui se traduisent par une faim émotionnelle peuvent être corrélés avec chacun des 3 besoins psychologiques qui permettent à l’être humain de s’épanouir :
- le besoin d’affiliation (solitude, manque de partage profond, décès, deuil, tension avec le conjoint…),
- le besoin de compétence (surmenage ou ennui au travail, perte d’emploi, manque de stimulations permettant de se mettre au défi dans quelques domaines que ce soit…),
- le besoin d’autonomie (la sensation de ne pas être maître de sa vie par exemple).
Les besoins psychologiques insatisfaits (et interprétations des situations) engendrent des émotions. La façon de manger détermine souvent la manière avec laquelle nous gérons nos affects.
Pour en savoir plus concernant ces besoins
Nourriture affective ou « l’alimentation émotionnelle » : une forme d'autohypnose
L’alimentation émotionnelle, qui engendre une faim émotionnelle (voir précédemment) se traduit par le fait d’ingérer de la nourriture de façon compulsive et incontrôlée, et dans le but de combler un vide affectif, calmer des émotions ou des pensées. Une sorte d'autohypnose incontrôlable
Des compulsions pour trouver un équilibre émotionnel
Les besoins psychologiques insatisfaits, cités précédemment, engendrent déceptions, insatisfaction, un vide ou une tension « affective » que les personnes chercheront à combler à leur façon.
Certains fuient, d’autres contrôlent…
Drogues, joints, jeux vidéo, achats compulsifs, cigarettes, activité sexuelle effrénée… ou ingestion compulsive d’aliments, les compulsions ont souvent pour objectif de fuir des émotions désagréables, une recherche infructueuse de trouver un équilibre émotionnel. La personne entre alors en hypnose, ne pouvant s'empêcher de manger ou de s’empiffrer.
Malheureusement, la faim émotionnelle ne se traduit nullement par une sensation de satiété, elle permet juste de fuir une « réalité » pendant quelques minutes en augmentant le malaise émotionnel par la suite (culpabilité, colère…). C'est ce que l'on nomme en hypnose "solution inefficace".
L'hypnose permettra de retrouver naturellement un équilibre en travaillant notamment sur les émotions qui sont évitées ou en permettant une reconnexion à la sensation de satiété et au corps.
Régimes, perte de poids et échec…
Régime est souvent synonyme de privation, de frustration… Parce que manger est souvent un plaisir ! En plus de besoins insatisfaits, si la personne a la sensation de faire un sacrifice, même si sa conscience lui dit que c’est pour son bien, les résultats obtenus (la perte de poids) ne tiendront pas.
Perdre du poids est souvent un échec pour ceux qui suivent un régime. Les mauvaises habitudes, les compulsions alimentaires, si elle ne sont pas travaillées en profondeur (par un suivi psychologique ou avec une hypnothérapie pour maigrir), sont bien souvent vouées à réapparaître… Une prise de poids supérieure est fréquente après un régime.
Il s’avère que l’homme occidental moderne moyen consomme 35 kg de sucres par an. Pouvez-vous simplement réaliser combien cela fait par jour ? Je vous laisse faire le calcul ! Avant le XIXème siècle, avant l’import de la canne à sucre, la principale source de glucide en occident était la betterave à sucre (et les fruits de saison !) et un homme vivant avant 1900 ne consommait que 3.5kg en moyenne de sucre par an ! Voyez-vous où je souhaite en venir ?
Cancer, inflammations, migraines, problèmes de dos et de santé diverses sont en grande partie dues aux glucides. Nous de presque chacune de ces pathologies, qu’il s’agit du « mal du siècle ». Hors, ne serait-ce pas causé, en grande partie, par les sucres en surabondance dans notre alimentation actuelle ? Je ne sais pas, c'est juste une hypothèse possible et même probable !
Un "besoin de se gaver" inscrit dans nos gènes
Les sciences nous permettent désormais de remonter plusieurs dizaines de milliers d’années pour comprendre les comportements alimentaires de nos ancêtres. Avant ce que l’on nomme « révolution agricole » ou « néolithique », avant la domestication de plantes et d’animaux il y a à peine plus de 10 000 ans, les êtres humains étaient avant tout des chasseurs-cueilleurs. Les sucres, uniquement présents dans les fruits, étaient denrées rares. À la vue d’un arbre fruitier, l’homme de l’époque n’avait pas d’autre choix que de s’en gaver pour accumuler un nombre de calorie suffisante pour ce qui se rapprochait, parfois, de la survie. Sinon, à son prochain passage, il est fort à parier que des animaux ou d’autres espèces animales aient épuisé tous les stocks de l’arbre !
Malgré l’abondance de la nourriture à notre époque, dans nos placards, réfrigérateurs ou supermarchés, cette part phylogénétique, liée au besoin de s’empiffrer, que l'on peut rattacher au gène d'épargne serait inscrite dans nos gènes.
Pour certaines méthodes, telle la méthode 80-20, inspirées de la loi de Pareto, selon laquelle "environ 80 % des effets sont le produit de seulement 20 % des causes", il serait possible de manger à peu près ce que l'on veut pendant 20% du temps... Rien n'est confirmé mais pourquoi pas essayer ? Et si cette méthode permettait de satisfaire ce besoin phylogénétique de se gaver !?
Le jeûne : un fonctionnement naturel oublié
Jeûner fait partie des fonctions naturelles de chaque espèce animale.
Il n’y a que chez l’homme qu’une croyance s’est ancrée depuis des millénaires : « si tu es malade, tu dois manger ». Pourtant, il suffit d’observer les animaux pour comprendre qu’un animal malade cesse de s’alimenter : cela fait partie du processus naturel de guérison !
D’ailleurs, jeûner était quelque chose de courant, les homos sapiens vivant avant la première révolution agricole. Ils ne disposaient pas toujours des ressources suffisantes pour s’alimenter et les jours de disettes étaient fréquents.
Les sucres : le mal du siècle
Il suffit de faire les courses et d’observer à quel point les glucides sont omniprésents dans l’alimentation : gâteaux, boissons, pâtes, riz, desserts variés, fruits…
« Que ta nourriture soit ton médicament et que ton médicament soit dans ta nourriture »
Hippocrate
Vous souhaitez perdre du poids sans faire de régime ?
Efforts pour perdre du poids et plaisir de manger semblent ne pas être compatibles. C'est une des raisons pour lesquelles il est souvent difficile de perdre des kilos en trop et, surtout, de garder la ligne.
Maigrir est difficilement réalisable sans aide et en ne faisant appel qu'à la seule volonté.
Heureusement, l'hypnose vous permet de changer d'état d'esprit pour aller vers un mode de vie naturellement plus sain. Elle vous aide à perdre progressivement du poids, en étant à l'écoute votre corps.
Le comportement alimentaire : un lien étroit avec la notion de satisfaction
Perdre du poids est difficile. Mais c'est encore plus difficile lorsque vous avez l'impression de lutter constamment contre votre propre esprit, en essayant de vous convaincre que la salade est une meilleure option que les frites, ou qu'aller se coucher tôt est une excellente excuse pour sauter le dessert... Ce n'est pas tenable sur le long terme ! Manger est, et doit rester, avant tout un plaisir !
Bien que ce ne soit pas toujours le cas, les problèmes de poids sont souvent liés à l’alimentation émotionnelle, autrement appelée "compulsions alimentaires". Elle n’est, le plus souvent, que le substitut d’un vide affectif, d'un état de stress ou anxieux, une solution inefficace pour combler un défaut d'épanouissement ou calmer les émotions à travers la nourriture.
Pour certains il s'agit d'un vide issu de l’enfance, pour d’autres, d'expériences à l’âge adulte... Pour d'autres encore, les émotions sont en lien avec les situations actuelles, passées ou anticipées… Dans chacun de ces cas, il s’agit de besoins insatisfaits que la nourriture ne saurait combler mais qui calme les émotions.
En fonction de votre situation, vous pouvez consulter les pages dédiées à la gestion des émotions et du stress ou celle pour les troubles anxieux.
Je vous offre également de télécharger gratuitement mon "Guide Pratique des Émotions" afin de pouvoir comprendre et commencer à agir, sans même consulter, sur les causes mêmes de vos troubles alimentaires.
“Plus je grossis, plus je m’aigris, plus je m’aigris, plus j’ai le coeur gros. Le désespoir rend difforme.”
Claude Frisoni
“Mange de façon à manger ce que tu manges, et non pas de manière à être dévoré par ta nourriture.”
Anonyme
Faim physiologique
La première des 2 faims, la « faim biologique », se traduit par l’appétit. Elle permet au corps de fonctionner normalement et pour objectif la survie. Cette sensation de faim est progressive. Elle se ressent dans l’estomac et s’arrête une fois que nous sommes arrivés à satiété, quand nous sommes rassasiés.
La prise alimentaire comporte 3 phases : la faim (nommée également phase pré-prandriale), la phase d'ingestion (phase pandriale où se met en place le rassasiement, la sensation de faim disparaît progressivement) et la satiété (phase post-prandiale qui produit une sensation de bien-être).
L'hypothalamus est la glande, située dans le cerveau, qui contrôle la satiété. Différents mécanismes (sensoriels et hormonaux) lui permettent grossièrement d'évaluer les quantités ingérées et le taux de glycémie.
La faim naît avec certaines hormones, dont la ghréline, dont les taux diminuent lors de la phase prandiale (prise du repas). Quinze minutes environ après que les aliments aient pénétré dans l'estomac, la paroi gastrique sécrète de la leptine. Celle-ci induira un effet de satiété... Enfin... Si c'est une faim physiologique et non émotionnelle !
D'ailleurs, quand vous mangez, connectez-vous à votre "rototo", cherchez à ressentir le rot que nous poussons les bébés à faire. Il vous indiquera que vous avez bien mangé !
Pour ressentir la satiété, il faut ressentir la faim (la physiologique, pas la faim émotionnelle).
L'une ne va pas sans l'autre.
Le temps de prise alimentaire (temps du repas), comportant les 3 phases précitées, devrait être d'au minimum 30 à 45 minutes. Ce temps permet au signal de satiété de se déclencher. Ce n'est que 20 minutes après le début de l'ingestion d'aliments que le centre cérébral de la satiété commence à être stimulé.
Grâce à l'hypnose à Nice pour perdre du poids que je propose le corps pourra progressivement réapprendre à se connecter à ces sensations biologiques de satiété, permettant une perte de poids naturelle.
Faim émotionnelle
Contrairement à la précédente, la faim liée aux émotions est soudaine, intense et a besoin d’être apaisée rapidement (mais elle ne l'est jamais !). Il s’agit d’une frénésie alimentaire (crise hyperphagique - hyperphagie) où la personne a le sentiment de perdre le contrôle. Elle entraîne ou est souvent liée à une perte d'estime de soi.
Sans véritable sensation de faim, la tendance est alors à rechercher un plaisir immédiat, notamment par l’ingestion rapide et importante, plusieurs fois par semaine, d’aliments gras ou sucrés. Mais cette faim en général ne s’apaise pas et persiste. Ces crises d’hyperphagie pouvent ainsi aller jusqu’à la « sensation d’un ventre qui va éclater », un « inconfort gastrique ». Comme expliqué précédemment, sans faim physiologique, point de satiété !
Il s’agit bien souvent d’une solution inefficace pour calmer le mental qui engendre des émotions, une sensation de vide ou de stress, ou encore de besoins insatisfaits. Et quand le mental engendre des émotions, que le cours des pensées n'est pas dirigé, c'est déjà une forme d'hypnose, d'autohypnose non choisie et subie. Il est fréquent de consulter un hypnotiseur pour se faire hypnotiser mais il s'agit plus, bien souvent, de permettre à la personne de se déshypnotiser et de sortir d'une autohypnose non-désirée et délétère !
L'hypnose pour maigrir passe souvent par un travail sur les émotions et les pensées.
Les crises hyperphages entraînent également d’autres émotions que celles qui sont inconsciemment évitées. Si la personne se cache pour se gaver, ou si des comportements de compensations sont mis en place (comportement boulimique avec vomissements et/ou activité physique excessive), la honte, la colère (envers soi), la culpabilité, ou une certaine tristesse (de ne pouvoir se contrôler) peuvent s'additionner au mal-être originel.
Normalement le corps régule de lui-même les faims physiologiques. Pourtant, une faim biologique peut être difficile à distinguer d’une faim émotionnelle.
Faim physiologique et faim émotionnelle
“Le sucre ne sert à rien quand c'est le sel qui manque.”
Proverbe yiddish